Louis-Philippe Pouliot – Le leader actif et accessible
Le goût du dépassement de soi, Louis-Philippe l’a toujours cultivé. C’est d’ailleurs cette envie de stimulation et de défis intellectuels qui l’a dirigé vers l’actuariat, une discipline exigeante. Mais en plus de mettre ses neurones à l’épreuve, le domaine de l’assurance a permis à Louis-Philippe de trouver une grande source de motivation, notamment lors d’un stage marquant à la MetLife, à New York.
« La mission des assureurs, notamment celle de iA, repose sur une véritable vocation sociale : protéger les gens et les familles. Nous travaillons donc en ayant constamment notre raison d’être à l’esprit : nous déployons des efforts pour que nos clients se sentent en confiance et en sécurité par rapport à leur avenir, pour le bien de tous et de la communauté. »
L’esprit de compétition au service de la croissance
Depuis 2008, Louis-Philippe poursuit le rêve échafaudé jadis par nos fondateurs, mais avec les moyens ambitieux du grand groupe financier que nous sommes devenus.
« Dans le secteur collectif, nous avons beaucoup investi en modernisation parce que le jeu en vaut la chandelle. Nous souhaitons gagner des parts de marché, concurrencer les plus gros joueurs et faire partie du premier tiers des assureurs dans ce domaine, autant en assurance qu’en épargne. C’est d’ailleurs un objectif de notre plan 2030 », souligne Louis-Philippe.
Pour arriver à de tels résultats, il faut bien entendu un certain sens de la compétition. Alors qu’il travaillait aux Services actuariels, Louis-Philippe assouvissait ce désir de compétition principalement dans le sport, à l’extérieur du travail.
« Me pousser à fond dans des triathlons me permettait de revenir plus calme et ressourcé au travail, mais depuis que je suis responsable du développement d’un secteur d’activité, j’y transpose l’adrénaline de la compétition. Aujourd’hui, mon but est de regarder le compétiteur et d’arriver à le dépasser sur son propre terrain, de passer devant. Cela dit, je brûle encore plusieurs calories par semaine grâce au sport! ».
Louis-Philippe demeure une personne très active. Avec ses deux enfants et sa conjointe, qui travaille aussi chez iA, il dépense notamment son énergie en vélo de montagne, dans son club de Québec, ou lors de séjours réguliers au Vermont.
« Mes enfants ont 7 et 10 ans, alors chacun de nous peut maintenant se joindre à des groupes correspondant à son niveau d’âge, et partager ça en famille ensuite! »
Par ailleurs, le bien-être des enfants est une autre valeur très chère à Louis-Philippe. Il a d’ailleurs récemment participé au Défi têtes rasées de Leucan, qui vient en aide aux enfants atteints d’un cancer.
L’importance de l’harmonie
Au quotidien, Louis-Philippe prône l’harmonie entre vie professionnelle et vie personnelle. « Le mot équilibre suggère parfois une pondération prédéfinie entre les différentes composantes, où on les met à tort en opposition les unes aux autres : le travail et la famille, par exemple. Je préfère qu’on parle d’harmonie, ce qui suggère une coexistence des différentes sphères qui se nourrissent les unes des autres. »
Louis-Philippe est d’ailleurs ravi des avantages du modèle TNO, qui lui offre une certaine souplesse puisqu’il voyage fréquemment entre nos bureaux de Québec, de Montréal et de Toronto.
« Être au bureau physiquement me permet de me plonger davantage dans des situations concrètes, d’être exposé à la réalité directe que nous vivons avec les clients et de mieux comprendre la réalité de nos équipes de service à la clientèle. Ce sont d’ailleurs d’excellentes équipes, dévouées, qui nous ont beaucoup fait progresser depuis quelques années. »
Une personne accessible
Louis-Philippe se réjouit des progrès de son secteur en pleine période de modernisation. « Aux Solutions d’assurance et d’épargne collectives, le volume n’est pas toujours le même, mais depuis deux ans, nous avons de la prévisibilité et le client qui appelle au Service à la clientèle attend moins longtemps en ligne. Cela nous permet de prendre encore plus soin de nos équipes et de nous consacrer à d’autres objectifs. »
Car même s’il a gravi de nombreux échelons et qu’il a constamment relevé de nouveaux défis, du Québec jusqu’en Arizona, Louis-Philippe, joueur d’équipe, demeure un homme des plus accessibles.
« J’aime intégrer à l’occasion de petites touches d’humour, ou même une approche amicale pour réduire la pression. »
La sympathie et l’empathie pour les collègues, c’est très bien, mais, pour que les projets se concrétisent et avancent, il faut plus. Il est important d’apprendre à se faire confiance et à s’affirmer. C’est souvent un défi pour les gestionnaires, mais Louis-Philippe y parvient en conservant une approche humaine et un souci de l’autre. Les mêmes motifs qui, jadis, ont fait naître et croître notre industrie.