Sébastien : Bienvenue au balado À vos intérêts! Mon nom est Sébastien Mc Mahon et cette semaine, on vous propose une capsule spéciale pour le mois de la littératie financière. Cette semaine, on reçoit notre collègue Jennifer Boudreau, stratège en éducation dans le secteur de l’Épargne et retraite collectives, pour nous parler des mythes liés aux finances. Bonjour Jennifer!
Jennifer : Bonjour Sébastien.
Sébastien : Ça va bien?
Jennifer : Oui, toi?
Sébastien : Merci d’être là. Oui, ça va très bien. Merci d’être avec nous pour parler surtout des mythes qui sont liés aux finances, à l’épargne, à l’investissement. Puis on va les séparer en trois thèmes. Le premier, ça va être sur les dettes et l’investissement, le deuxième sur la retraite et le troisième sur l’épargne en fonction de l’âge. Donc, est-ce que tu es prête à nous parler des mythes liés aux finances?
Jennifer : Je suis toujours prête à parler de ça.
Sébastien : Excellent! On va commencer avec le premier : les dettes et l’investissement. Jennifer, est-ce que les dettes sont toujours mauvaises et est-ce qu’on doit toujours les éviter?
Jennifer : C’est vrai qu’en général, pour être en bonne santé financière, on préfère avoir le moins de dettes possible. Par contre, les dettes peuvent être également utilisées de manière stratégique pour atteindre des objectifs financiers. Par exemple, contracter un prêt immobilier pour acheter une maison peut être considéré comme une dette, mais c’est aussi un investissement dans un actif dont la valeur peut potentiellement augmenter avec le temps. L’essentiel est de comprendre chaque type de dette, ses implications, ses avantages et ses risques, et de la gérer de manière responsable et judicieuse. C’est aussi primordial d’avoir un plan de remboursement réaliste pour chaque dette.
Sébastien : Tu as raison, ça prend toujours un plan. On en a parlé beaucoup dans ce balado-ci, dans les épisodes passés et je pense qu’on va en parler longtemps encore. Avoir un plan, c’est primordial. Et je suis tout à fait d’accord avec ce que tu dis. J’ajouterais qu’il est parfois même nécessaire de s’endetter pour épargner. Tu parlais de l’immobilier. Bien sûr, si on achète une maison, il va falloir avoir généralement une hypothèque. Le fait aussi de mettre de l’argent de côté pour ses enfants dans un REEE ou de s’endetter pour effectuer un retour aux études, ça peut être considéré comme de bonnes dettes parce qu’on investit dans notre futur. Malgré tout, l’endettement est quand même à prendre au sérieux.
Mais quand on regarde les chiffres de Statistique Canada, il y a peut-être un mythe que je voudrais ajouter. L’endettement des ménages canadiens, oui, il est élevé : on parle d’un ratio de dette au revenu disponible de 176,4 % précisément au premier trimestre de 2024. Donc, en d’autres mots, 1,76 $ de dette sur le marché de crédit pour chaque dollar de revenu disponible des ménages. Il ne faut pas oublier quand même qu’au Canada, on a un système social et économique qui est quand même très généreux. On a un filet social qui est important. Puis, quand on compare le niveau d’endettement des ménages canadiens à celui qu’on voit dans les pays scandinaves, où on a un système socioéconomique similaire au Canada, bien, on voit à peu près la même chose dans ces pays-là. Puis la raison, c’est qu’on paye beaucoup, à travers nos impôts, des soins de santé, on paye une partie de nos revenus de retraite futurs, donc on n’a pas besoin d’épargner autant que dans des pays comme les États-Unis, où le système social, le filet social, est moins généreux. Donc oui, il y a de la dette. Il faut être quand même très prudent avec le type de dette qu’on prend, mais quand même, notre système social fait en sorte qu’au Canada, quand on se compare à d’autres pays, les comparaisons peuvent être un peu boiteuses.
Mais en résumé quand même, toutes les dettes ne sont pas mauvaises. Il faut faire attention à ne pas vivre au-dessus de ses moyens, bien sûr. Si on achète une maison, la dette a une raison d’être, mais si on se rend compte à un certain moment qu’on s’endette pour payer l’épicerie, bien probablement que ça nous prend un plan pour ramener la situation à l’équilibre.
Mythe numéro deux : on entend que du côté de l’investissement, acheter une maison, c’est mieux que de louer. Donc, est-ce que c’est vrai?
Jennifer : C’est intéressant comme mythe parce que ça soulève plusieurs questions. La réponse courte est que non, l’achat d’une maison n’est pas toujours un meilleur investissement, surtout au niveau des générations, cette perception va être très différente.
En pratique, tout est lié aux envies, aux projets et à la motivation à mettre de l’argent de côté pour chaque personne. J’aime bien citer Stéphane Desjardins à ce sujet, qui est chroniqueur en finances personnelles. Il dit : « Un loyer, c’est le maximum que ça va coûter pour se loger. Mais une hypothèque, c’est le minimum que ça va coûter pour se loger. » Il a bien raison, parce que l’accès à une propriété vient avec tellement de frais supplémentaires comme les taxes foncières, les frais d’entretien, le notaire et, comme cette fin de semaine, mes achats de décorations d’Halloween pour la maison.
Sébastien : La liste est longue, hein?
Jennifer : Et voilà. Donc, acheter une maison, ça vient avec énormément de responsabilités et d’imprévus. Si quelque chose brise ou que la toiture doit être changée, on a beau appeler le propriétaire, mais c’est notre propre téléphone qui sonne et on n’a pas le choix de répondre. Stéphane Desjardins affirme que les statistiques démontrent qu’il vaudrait mieux louer un logement et investir la différence entre le loyer et ce que coûterait une hypothèque dans les marchés financiers pour obtenir un meilleur rendement à long terme. Ce n’est vraiment pas une mauvaise idée, parfois.
La réalité est que pour beaucoup de gens, la consommation va passer avant l’épargne. Donc, même s’ils choisissent de louer un logement plutôt que de l’acheter, la différence qu’ils vont économiser ne sera pas nécessairement investie ou épargnée, mais bien souvent dépensée. Pour cette raison, acheter une propriété peut être avantageux, puisque c’est un peu comme une épargne forcée pour les personnes qui ont plus de mal à mettre de l’argent de côté.
Sébastien : Absolument. Puis il est important de préciser que même si c’est une épargne forcée, il ne faut pas tout miser là-dessus non plus. Un plan financier global doit être un peu plus diversifié. Et pour illustrer ce que tu disais, tu as absolument raison quand tu dis que ce n’est pas nécessairement toujours la bonne chose d’acheter.
Il y avait une analyse qui était publiée dans le journal Les Affaires récemment qu’on va citer ici. L’exemple, c’était l’achat d’une maison, un prix de 522 000 $. Donc, ce sont des données basées sur les prix de la région de Montréal. Donc, la maison moyenne : 522 000 $. La dépense mensuelle pour acheter cette maison-là, ça serait environ 3 400 $ par mois pour une hypothèque de 5 %, plus les taxes municipales. En supposant un rendement composé annuel de 3 % qui est quand même assez généreux ici, la même maison vaudrait plus d’un million de dollars dans 25 ans. Donc il y a quand même un gain en capital sur la maison. Selon une étude de PWL Capital qui a été réalisée en 2022, on rapporte que sur 20 ans, le rendement annuel d’une maison après inflation, après impôts, après frais de réparation serait plus proche de 1 %. Donc des gains en capital, oui, mais 1 % seulement.
Puis si on compare avec une autre situation où, au lieu d’acheter cette maison moyenne, les acheteurs avaient le choix de louer un logement moyen dans la région de Montréal dont le loyer est de 1 600 $ par mois et d’investir la différence (donc 1 800 $ par mois dans un fonds commun de placement), le rendement aurait fort probablement produit quelques dizaines de milliers de dollars de plus que l’augmentation de la valeur de la maison après 25 ans. Donc, c’est un pensez-y-bien avant d’acheter une propriété. Il ne faut pas systématiquement croire que c’est le meilleur investissement à faire. Mais quand même, la différence entre le coût de la maison et le coût du loyer doit être investie pour qu’à long terme ça en vaille la peine.
Donc mythe numéro trois, on passe au prochain thème : la retraite. Est-ce que c’est vrai, Jennifer, que les programmes gouvernementaux sont suffisants pour être la seule source de revenus à la retraite?
Jennifer : Je suis complètement en désaccord avec ça, à moins que vous ayez un mode de vie exceptionnellement raisonnable. Pour la majorité des Canadiens et Canadiennes, lorsqu’on va arriver à la retraite, on veut maintenir notre niveau de vie. Donc le montant qu’on va recevoir des régimes publics, pour la plupart, ne sera pas assez pour même faire ça. En moyenne, un Québécois qui prend sa retraite à 65 ans va recevoir environ 26 400 $ par année de ces programmes gouvernementaux. Donc, pour la plupart des gens, ce montant est nettement insuffisant pour vivre une retraite confortable et combler les besoins de base.
Sébastien : Puis, en règle générale, on entend beaucoup le chiffre de 70 % du revenu annuel de fin de carrière après impôts pour maintenir le niveau de vie. Donc les programmes gouvernementaux vont rarement être suffisants pour couvrir ça, mais est-ce que tu es d’accord avec le 70 %?
Jennifer : Le 70 %, c’est un chiffre intéressant. C’est un montant qui, oui, peut répondre à nos besoins. Mais en même temps, ça dépend de notre idée de la retraite. On parle de maintien de niveau de vie. Je donne tout le temps un exemple dans nos séances d’éducation : si ton idée de la retraite c’est de déménager en Europe et d'aller manger uniquement dans les meilleurs restaurants étoilés Michelin, peut-être que 70 %, ça ne sera pas assez. Si ton rêve c’est de vivre en campagne avec un énorme jardin, peut être que ton 70 % est amplement assez pour couvrir ton idée de retraite. Il n’y a pas de bonne réponse ou de mauvaise réponse, il faut juste se pencher sur la question et il faut faire une réflexion. Et, encore une fois, il faut planifier notre retraite.
Sébastien : Ça prend un plan, encore une fois. Et plus on a le plan tôt, mieux c’est. Mythe numéro quatre : en parlant d’avoir assez d’argent pour notre retraite, est-ce que c’est vrai qu’on dépense moins pendant la retraite et qu’on n’a donc pas besoin d’autant d’argent qu’on pourrait le penser?
Jennifer : C’est vrai que dans certaines sphères de la vie, les gens ont tendance à dépenser moins à la retraite, mais il y a d’autres sphères où le contraire se produit : les gens dépenseront plus qu’avant la retraite. Par exemple, on peut s’attendre à avoir moins de dépenses liées au travail, comme les cotisations à la RRQ, les cotisations des ordres professionnels ou syndicats, par exemple. On payerait aussi moins d’impôts parce qu’en principe, on va réduire notre revenu imposable. Donc, les dépenses familiales devraient aussi diminuer puisque, en principe, les enfants des retraités sont généralement plus autonomes et n’habitent plus à la maison. Mais d’un autre côté, les dépenses liées aux soins de santé, à certaines primes d’assurance et aux activités sociales pourraient beaucoup augmenter de manière vraiment importante. C’est donc important d’établir un budget réaliste pour la retraite en fonction de nos projets et aspirations et de les mettre à jour régulièrement. C’est vraiment ici qu’on peut utiliser les régimes collectifs pour combler le manque entre ce que les régimes gouvernementaux vont fournir et notre idée de la retraite.
Sébastien : Oui, tout à fait, tu as raison. Puis n’oubliez pas non plus de prendre en considération l’espérance de vie grandissante quand vous prévoyez votre retraite. Avec l’augmentation de l’espérance de vie, vient une durée de retraite plus longue qui nécessite que vous ayez des revenus pendant plus d’une vingtaine d’années si vous prenez votre retraite à 65 ans. Donc, selon Retraite Québec, une personne de 65 ans a plus de trois chances sur quatre d’atteindre l’âge de 80 ans, plus d’une chance sur deux d’atteindre l’âge de 86ans et plus d’une chance sur quatre d’atteindre l’âge de 92 ans.
Puis je rajouterais une couche : dans un couple, les probabilités qu’au moins un des deux membres du couple se rende à ces âges-là et beaucoup plus élevé encore. Donc il est important de prendre en considération le risque de longévité dans votre calcul. Donc on pense beaucoup aux risques de marché, mais le risque de survivre à votre argent, c’est un risque qui est quand même majeur.
Le mythe numéro cinq, maintenant, puis on rentre dans le troisième et dernier thème : l’épargne en fonction de l’âge. Jennifer, est-ce que je peux être trop jeune ou trop vieux pour commencer à épargner pour la retraite?
Jennifer : On n’est jamais trop jeune ni trop vieux pour commencer à épargner. C’est sûr que de préférence, on commence à épargner le plus tôt possible pour plusieurs raisons, dont les avantages de l’intérêt composé, c’est-à-dire les intérêts qui gagnent de l’intérêt sur de l’intérêt. En plus, ça permet de réaliser la valeur de l’argent et d’instaurer de bonnes habitudes financières dès un jeune âge qui persisteront probablement tout au long de notre vie. On y revient encore une fois : les bonnes habitudes, ça revient souvent à ça. En plus, en investissant plus jeune et à long terme, on réduit aussi l’impact des fluctuations du marché.
Sébastien : Ça, c’est très important parce qu’on sait que si on investit aujourd’hui, les probabilités d’avoir un rendement positif dans un an sont assez élevées, mais il y a quand même une bonne probabilité que dans un an, on ait des rendements négatifs. Mais quand on regarde sur cinq ans, sur dix ans, sur vingt ans, ces probabilités-là d’avoir un rendement négatif tombent très rapidement. Elles s’en vont vers zéro. Donc investir pour le long terme, c’est toujours la clé.
Jennifer : Tout à fait. D’un autre côté, même si on se retrouve relativement proche de la retraite et qu’on n’a pas eu l’occasion d’épargner, il n’est pas trop tard. Il ne faut pas se décourager. Ça vaut la peine de s’y mettre dès que possible. Chaque dollar compte. N’hésitez pas à faire appel à un professionnel pour vous accompagner et établir une stratégie efficace avec vous. Encore une fois, il y a vous seul qui allez faire un plan. Votre plan va être adapté à votre réalité. En mettant en place un budget et un plan financier optimiste mais réaliste, on met en place des bases solides pour se rapprocher de son objectif de retraite.
Sébastien : Oui, tout à fait. Puis il y a le mythe numéro six qui est lié à ça : si on veut avoir des bases solides, est-ce qu’on devrait attendre d’avoir un salaire plus élevé avant de commencer à épargner?
Jennifer : Non, ce n’est vraiment pas une bonne idée, même si on sait très bien que dans plusieurs cas, c’est très difficile de trouver un petit « lousse » pour mettre de l’argent de côté. Évidemment, il faut prioriser les dépenses quotidiennes essentielles liées, par exemple, au logement et à l’alimentation. Par contre, dans la grande majorité des cas, en établissant un budget et en analysant sérieusement ses dépenses, il est possible de trouver même un petit 5 $ à consacrer à l’épargne par paye. On peut se demander, par exemple, s’il y aurait moyen d’économiser sur d’autres factures comme l’électricité, nos abonnements mensuels, notre facture d’épicerie ou encore sur nos dépenses de restaurant. Il est recommandé aussi de procéder par prélèvement automatique et même par prélèvement sur la paye, si c’est possible. Encore une fois, on vient renchérir ici sur l’habitude de la chose. Comme ça, on n’a pas à y penser trop, et l’argent n’étant pas disponible, on ne le dépense pas ou on le dépense moins. C’est aussi très avantageux financièrement d’épargner à l’abri de l’impôt. Le remboursement d’impôts que cela représente pourrait agréablement vous surprendre.
Sébastien : Puis je suis tout à fait d’accord avec toi que les prélèvements automatiques, c’est la clé. Quand on a une augmentation de salaire, d’envoyer automatiquement une partie en épargne, ça simplifie la vie. On ne s’habitue pas à avoir un rythme de vie avec des moyens plus élevés pour dépenser, on le met directement de côté. Donc ce sont des formules qui sont gagnantes.
Puis il y a EducÉpargne au Québec qui utilise une phrase que j’aime bien, qui dit : « Dans un budget, on devrait toujours commencer par se payer soi-même. » L’organisme recommande comme règle de base de mettre de côté 10 % de nos revenus bruts pour l’épargne. Je suis d’accord avec vous si vous sourcillez en nous écoutant! C’est élevé, mais commencer petit, puis probablement éventuellement avec les années, se rendre jusqu’à 10 %, ça serait une habitude que vous ne regretterez pas. Puis bien sûr, ici, ça dépend de l’âge auquel vous commencez à épargner. Il faut respecter ses limites. Il faut s’adapter à la situation de vie qu’on a. Mais ça demeure quand même un bel objectif à se donner pour commencer.
Peut-être un dernier? Un septième mythe ici. Est-ce qu’un salaire élevé garantit – et j’insiste sur le mot «garantit ici – une sécurité financière à long terme?
Jennifer : Oh, un autre mythe qui est absolument faux. Bien sûr, avoir un salaire élevé aide à mettre de l’argent de côté, mais encore faut-il avoir la discipline et de bonnes habitudes financières. On revient toujours à la même chose. Un salaire élevé ne signifie pas nécessairement une gestion efficace de l’argent. Une personne qui gagne beaucoup d’argent peut très bien vivre au-delà de ses moyens et accumuler des dettes importantes. La sécurité financière à long terme dépend de plusieurs facteurs tels que la gestion des finances personnelles, l’investissement, la planification de la retraite et la constitution de l’épargne. Donc, même si elle a un salaire élevé, une personne peut ne pas être protégée financièrement si elle ne prend pas de bonnes décisions financières à long terme.
Sébastien : Oui, exactement. Puis aussi, on se reconnaît peut-être tous quand notre salaire augmente, on peut se dire : « Maintenant, je peux supporter une dette qui est plus élevée. » Mais quand même, il y a un piège ici.
Puis au-delà de ça aussi, d’autres dimensions : une personne qui a un salaire de base élevé, mais qui a peu ou pas d’avantages sociaux va devoir prévoir des dépenses supplémentaires, ce qui nécessite une discipline financière accrue en cours de vie, surtout pour se constituer une épargne pour l’avenir. Donc c’est pour ça que de plus en plus d’entreprises parlent de rémunération globale qui ne se limite pas au salaire de base, mais qui inclut aussi d’autres formes de compensation telles que les avantages sociaux, les assurances, les congés payés, les options d’achat d’actions, les régimes de retraite, les primes, etc. Donc, il faut considérer tous ces critères pour réellement évaluer la rémunération d’une personne. En plus, les régimes de retraite à eux seuls sont un facteur déterminant sur la sécurité financière à long terme.
Donc, on a couvert beaucoup de choses ici dans cette capsule spéciale pour le mois de la littératie financière. Un énorme merci, Jennifer, pour toute ta sagesse aujourd’hui.
Jennifer : Merci beaucoup Sébastien. Ça me fait toujours plaisir.
Sébastien : Ça a été merveilleux. J’espère que vous avez appris plusieurs choses. J’espère que vous avez pris des notes. Je vous dirais que j’en ai pris moi-même personnellement. Donc merci, Jennifer.
Puis n’oubliez pas que c’est toujours important de poser des questions quand on parle d’argent, mais surtout quand on parle de votre situation financière à long terme. Donc, un gros merci tout le monde, un gros merci vous tous à la maison, puis on se dit à la semaine prochaine.
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À propos
Sébastien Mc Mahon et Jennifer Boudreau
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